vendredi 10 septembre 2010

Disjoncte

Après Paris, Dijon paraît ridiculement petite, et ses trottoirs, étrangement déserts.

Mais c'est là qu'on fait les meilleurs festins, à un prix vraiment pas pire. Le vin et la nourriture sont tout simplement "pas qualifiables tellement c'est bon", pour reprendre les mots de mon concubin, qui ne s'est pas gêné pour se payer un "magret de canard aux griottes et ses gnocchis gratinés" (15 euros, service compris, c'est quand même vraiment acceptable). De mon côté, j'ai commandé un "dos de sandre (un poisson blanc) accompagné d'un flan de ratatouille et d'une tomate à la provençale". Toutes ces belles choses arrosées d'un bourgogne joyeusement nommé Montre-cul. Voyez vous-mêmes notre air satisfait devant notre assiette gastronomique :








En fin de semaine, visite des vignobles de Marsannay et de Beaune.

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En passant, si on écrit moins, c'est parce qu'on s'amuse plus (même si, fidèle à mon habitude de voyage, j'ai attrapé le rhume du pays). :) On vous fera un beau show de diapositives à notre retour, ne vous inquiétez point.

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On a un peu peur de la grève du 23, quand même. On était supposés aller à Marseille ce jour-là, mais on va peut-être repousser notre déplacement, parce que grève=SNCF déficiente, bien sûr. Allez Sarko, un peu plus de stratégie, siouplaît.

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